Toujours à N’djamena, nous allons cette fois-ci nous promener le long du fleuve, le Chari.
La joyeuse troupe, cette fois les pieds dans l’eau (nous espérons ne pas avoir attrapé la bilharziose… vive les bê-bêtes tropicales!)
Nous terminons la journée à l’Hôtel Méridien-Chari pour profiter de la piscine. Après 15 mois d’effort, le réconfort! 
Etant à N’djamena pour quelques jours, nous profitons de voyager et de découvrir les environs de la capitale. Nous partons donc vers le nord dans un site où se trouve 4 gros rochers dont 
un ressemble à un éléphant.
Voilà la joyeuse troupe (volontaires de Doba + notre guide) partie pour escalader le dit rocher et admirer la vue.
Crumpy, “reporter sans frontière” avec les enfants qui nous ont montré le chemin jusqu’en haut.
Sur le retour nous nous arrêtons à Douguia où nous pouvons voir des singes dont nous ne connaissons pas l’espèce, elle doit sûrement s’appeler “bourses bleues au cul rouge” ;-) 
A l’occasion du départ de Pupuce, l’hôpital a organisé ce 24 décembre, une cérémonie avec tout le personnel. 
Se sont succédés: un discours du directeur, le Dr Mbaïtoloum, un discours de l’évêque, une danse et des chants organisés par les infirmières de l’hôpital.
Pupuce avait dû s’habiller en pagne confectionné par les infirmières puis a été décorée d’un chapeau de fleurs.
Les 4 médecins de l’hôpital (anciens et nouveau): Dr Mbaïtoloum, Dr Augustin, Pupuce et Dr Abinon
Bruno (chef infirmier du service de médecine)
Un moment très émouvant pour nous face à cette mobilisation et à la reconnaissance exprimée.
Nous profitons de quelques jours de congé pour visiter l’ouest du Tchad dont l’objectif était de voir les lacs de Léré et les chutes de Gauthiot.
Mais voyager au Tchad, ou en Afrique en général, n’est pas une mince affaire… surtout avec notre poubelle-mobile, “tu-ture Samouraï”!!!
Nous avions 150km de goudron et 200km de piste pour atteindre la destination souhaitée. Après les 100 premiers km de piste, notre voiture fait la difficile: nous décidons de nous arrêter 
à l’évêché de Pala pour voir leur garagiste => 1ère panne: carburateur encrassé.
Nous reprenons la route avec 3h de retard et un peu soucieux tout de même pour atteindre Léré. Nous y arrivons heureusement en fin d’après-midi et pouvons nous promener au bord du lac.
Le lendemain matin, nous décidons d’aller voir les chutes de Gauthiot, à +/- 50km de pistes de Léré… c’est là que ça se complique! Nous partons avec le mécanicien de la mission catholique (ça, c’était la bonne idée du jour!!). Nous roulons pendant 4h sur une piste, qui en fait était un sentier à travers brousse: nous avons dû traverser des bancs de sables, rouler à travers les hautes herbes sans voir à 1m… notre pauvre voiture a bien souffert et on a d’ailleurs dû l’arrêter et lui rendre à boire car elle surchauffait. 
Après arrêt de la voiture (trop fatiguée), nous marchons encore 20 minutes pour atteindre les chutes (que l’on ne voyait quasi pas tellement le site était enclavé et les parois dangereuses!)
Il était déjà 13h, nous n’avions pas prévu assez à manger ni à boire. Il fallait donc vite repartir… mais c’est là, que la voiture en décide autrement:
- la courroie est trop usée => changement de courroie avant de repartir
- ensablement => 3/4h pour l’en sortir (un cauchemar)
- Le 4X4 se bloque et nous ne pouvons plus embrayer sur une vitesse => 1h pour démonter le boitier du 4X4
- on réutilise le 4X4 => il re-bloque => on le re-démonte!
Il est 15h, sous 35°, sans eau ni de quoi manger perdus au fin fond de la brousse, dans un endroit qui regorge d’éléphants et de lions où il ne fait pas bon vivre la nuit!! Le stresse monte…
Heureusement, le mécanicien règle chaque problème un après l’autre et Crumpy roule comme un pilote de rallye pour rattraper le retard. Nous parvenons au village de justesse à la tombée de la nuit. On a eu chaud et surtout soif!
Le lendemain matin, le mécanicien doit bricoler à nouveau à la voiture pour que l’on puisse rejoindre Bébédjia (cardan arrière foutu). Pendant ce temps, nous allons
visiter le Gon et son palais (équivalent du chef de village)
Nous quittons Léré et après une Xème panne (fusible du compteur) nous arrivons en début de nuit à Bébédjia.
Ce voyage, bien qu’éprouvant, aura permis à Crumpy de faire un stage intensif en mécanique.
On dit bien que c’est le voyage qui forme la jeunesse, pas la destination!
Texte que l’on nous a envoyé: tellement vrai et surtout tellement vécu!
La nostalgie du pays s’installe doucement…
Ca fait vraiment trop longtemps que tu es en Afrique quand:
- Tu trouves qu'il fait froid dès que le thermomètre descend en dessous de 25°C.
- Tu ne t'arrêtes plus au stop et tu as oublié ce qu'était un clignotant
- Tu bois de la bière comme d'autres boivent du café
- Tu trouves normal que quelqu'un te porte tes courses jusqu'à ta voiture
- Tu ne t'étonnes plus du nombre de chèvres-cochons-chiens qui traversent la route
- Tu essayes de négocier tous les prix
- Tu possèdes 3 portables, un par réseau GSM
- Tu commences à sortir ton portefeuille dès que tu vois une voiture de flics
- Tu salues quelqu'un en lui disant «c'est comment ? »
- Tu mets du piment dans tous tes plats
- Tu dis « hahaaaan » pour montrer que tu as compris
- Tu ne mets plus que des tongs en plastique
- Tu ne réagis plus quand le policier t'amendes pour « non possession du triangle » dans la voiture et non parce que vous êtes 10 dans une voiture 5 places
- Tu réponds « C'est ça ! » pour montrer que tu es foncièrement intéressé par ce que les gens te disent.
- Tu manges du Ndolé, de la boule, du tcheb' et du foutou
- Tout le monde est ton cousin ou ta cousine
- Tu connais 7 Idriss, 5 Moussa, 12 Awa, 4 Narcisse, 6 Hyacinthe, 14 Jean de Dieu... et 1 FêtNat
- Quand tu as vécu un rapatriement, un coup d'état, ou une pénurie de Nutella dans les supermarchés! Et que pour toi, la différence entre ces événements est nulle !!!
- Tous les appareils électriques ont sauté à cause d'une coupure d'électricité.
- Tu sais allumer un groupe électrogène
- Quand il pleut, tu cours sous la pluie en criant car oui il faisait chaud et que oui ça fait du bien.
- Quand tu vois un lézard, tu dis "ouais, ben t'as pas vu un margouillat…"
- Quand ta mis des bougies et des allumettes partout chez toi au cas où il y a délestage de courant.
- Quand tu te lèves le matin pour aller travailler et qu'il fait jour à cette heure toute l'année.
- Quand tu cries dans ta salle de bain car t'as mis l'eau froide mais qu'elle est bouillante à cause des tuyaux exposés au soleil.
- Quand maintenant tu vois une énorme bête, tu ne cries pas mais tu la pulvérises d'un coup de claquette !
- Quand à la saison des pluies tu trouves normal de te déchausser et relever ton bas de pantalon avant de sortir de ta bagnole.
- Quand tu as déjà pris un taxi où on voit la route à travers le plancher.
- Quand tu es déjà rentré à 9 dans un taxi
- Quand tu as plus tendance à t'étonner quand une mobylette s'arrête au feu rouge (quand il y en a!) que quand elle le grille
- Quand tu divises au minimum le prix par trois quand tu veux acheter quelque chose
- Quand tu marches pour aller chez les voisins ou un peu plus loin et qu'arrivé là-bas tu as les pieds couverts de poussière ....
- Quand tu t'es déjà fait poursuivre par une pintade dans la rue
- Quand tu dois arrêter ta bagnole parce qu'un troupeau de vaches ou moutons ou chèvres traverse la route en pleine ville
- Quand tu as déjà mis des pulls quand il fait 20°c.
- Quand en descendant de l'avion tu sens la chaleur étouffante te prendre, et tu te dis que y a rien à faire, l'Afrique t'as manqué !
- Quand la première chose que tu fais en sortant de chez toi le matin, c'est de sourire en regardant le ciel....
Comme chaque année, les missionnaires de Bébédjia (les sœurs Comboniennes, les sœurs du Christ Ressuscité, les frères du Sacré Cœur, les sœurs Franciscaines, les pères de la paroisse et les laïcs) se réunissent pour fêter Noël.
(Nouveau médecin: le Dr Abinon)
C’est ainsi que nous nous retrouvons à partager le repas ensemble suivi d’une soirée animée par les soeurs mexicaines.
Au programme: jeux, chants (chacun chantant dans sa langue un chant de Noël => nous avons choisi “Petit Papa Noël”), échange de cadeaux et clôture par la “piniata” (grosse boule remplie de bonbons que l’on doit casser => tradition mexicaine)
Ce melting-pot culturel à crée une ambiance de Noël très agréable !
C’est la fin du premier trimestre au lycée, une occasion de plus de faire la fête, tant pour les élèves que les professeurs.
Chaque classe est décorée par le élèves, on entend de la musique et des danses.
Pour notre départ, tout le monde a participé pour nous dire au-revoir dans les formes.
Tout d’abord un repas constitué de mets divers apportés par les élèves de chaque classe, et ensuite, un détour par le bar “sympa +” avec consommations offertes par les professeurs.
La journée s’est clôturée par un spectacle à l’auditorium.
Le lendemain, Crumpy à fait son speech d’au-revoir aux élèves.
Des moments forts.
Voici le numéro 3 du journal du Lycée Padre Pio.
Ce numéro est entièrement réalisé, mis en page et imprimé par les élèves, les professeurs et des fournisseurs locaux.
L’heure est arrivée de dire au revoir à tout le monde. Nous essayons de passer un moment, le temps d’un repas, d’une soirée,… avec les personnes dont nous avons été les plus proches tout le temps de notre mission. 
Robert: infirmier de l’hôpital, il a assisté Pupuce au cours de ses consultations. Prendre les paramètres des patients, faire les traductions ngambaye/arabe/fulbé/…./français, lui expliquer la tradition et les coutumes, ce qu’elle peut dire ou ne pas dire en consultation,… Il a été le “relais culturel” de Pupuce pendant tout ce temps et lui a permis de mieux comprendre et d’être “comprise” par les patients.
Brigitte: Notre cuisinière. Elle nous aura permis tout d’abord de pouvoir manger chaque jour (nous n’oublierons pas le mois de congé de Brigitte où nous avons dû nous débrouiller seuls… une véritable catastrophe!) mais, du fait de se voir quotidiennement, c’est surtout elle qui nous a permis de mieux comprendre le Tchad en répondant à toutes nos interrogations “comment on appelle ça?”, “c’est quoi ça?”, “comment on dit en Ngambaye ?”, “pourquoi ils font comme ça?”…
Marie et Raymond: Marie est la cuisinière des soeurs. C’est une vraie bout-en-train. Elle nous a livré tout les secrets de ce doux breuvage qu’est la bili-bili. Raymond, son mari, est infirmier au bloc opératoire.
Alice et Samuel: Alice, responsable de la gestion du stock pharmaceutique et son mari, Samuel, infirmier à l’APMS (centre de dépistage SIDA). Nous avons à plusieurs reprises partagé la boule ou le Saka-Saka chez eux au quartier.
Hérode: professeur de biologie au Lycée, il est présent sur tous les fronts quand il s’agit d’organiser des événements. C’est un professeur exemplaire surtout pour les valeurs qu’il essaye de donner aux élèves.
Mathias: professeur d’éducation physique, il organise les tournois sportifs, encadre les jeunes et gère le matériel et les terrains de sport.
Gildas: c’est le journaliste de la région (prof de Français), il a motivé les élèves pour la réalisation du journal “Le Soleil” et gère toutes les étapes de la réalisation du journal. Il n’arrête jamais de travailler.
De gauche à droite: Hérode, Gildas, Mathias, Alice, Samuel, Marie et Brigitte
Voilà, le départ approche à grand pas et nous avons reçu le détail de notre billet d’avion.
Nous serons les 4 volontaires DCC de Doba à quitter en même temps, sur le même vol.
- Départ de N’djamena le 8 janvier à 23h50
- Arrivée à Paris le 9 janvier à 5h40
- Départ de Paris en TGV à 7h45
- Arrivée à Bruxelles à 8h59
Puis arrivée à Liège, comme on pourra, en espérant que les voies de train ne soient pas enneigées!
Un de nos moments de détente favoris sont les parties de pétanque avec le Dr Joseph (directeur de l’hôpital).
Pupuce sait plutôt placer et Crumpy se débrouille pas trop mal. Joseph joue très bien et c’est souvent (toujours…) son équipe qui gagne.
Crumpy souhaiterait agrémenter ces parties d’un petit verre de Pastis!
Ce WE, l'évêché a organisé une rencontre pour les missionnaires laïques du diocèse (laïc par opposition aux religieux) afin de partager un moment ensemble, nouer des liens, discuter…
Nous sommes 8 laïcs engagés par l’évêché de Doba, dont 4 sont des volontaires DCC. Malheureusement, 3 laïcs n’ont pu venir et nous nous sommes finalement quasi retrouvés entre volontaires DCC.
C’est ainsi que nous sommes partis samedi après-midi vers Maybombaye, un petit village bien loin et bien perdu en brousse, à +/- 1h de piste de Doba.
Le dimanche nous avons joué au volley et au basket: les nassaras (les blancs) contre les tchadiens => score 9-4 au volley pour les blancs et 6-6 au basket, le match a dû être départagé au lancer-franc et ce sont les tchadiens qui ont finalement gagné (ben, ouais, “les blancs ne savent pas sauter”).
Après ça, une bonne bouffe chez les soeurs mexicaines de Maybombaye => découverte d’un plat mexicain, le “posole”. 
On est au Tchad et on mange mexicain… vive l’inter-culturel!
Ce WE nous a permis de nous rendre compte que le volontaire laïque est souvent bien seul, peu entendu mais nous espérons que ce regroupement va permettre un meilleur dialogue avec l’évêché (qui jusque là était plutôt peu soucieux de notre sort…) et comme on dit, l’union fait la force!
De gauche à droite: Thomas (DCC), Père André (accompagnateur Camerounais), Père Ernesto (Mexicain, il nous a accueilli dans sa maison), Roger (DCC), Pupuce (DCC), Stephy (volontaire du Mexique) et Crumpy (DCC).
L’hôpital vient d’engager un nouveau médecin!! Il s’agit d’un jeune médecin tchadien qui vient de finir ces études.
Un oufff de soulagement pour Pupuce qui non seulement a du renfort pour terminer sa mission mais surtout se rassure que l’hôpital ait trouvé un nouveau médecin pour la remplacer dans un mois.
Remarque de Pupuce: Quand on cherche, on trouve… Ca fait 1 an, que soit disant l’hôpital cherche un nouveau médecin et ils n’ont jamais trouvé. 1 mois après avoir annoncé mon départ, un médecin arrive… NO COMMENT…
Le 2ème numéro du journal du Lycée est sorti.
Bonne lecture (cliquer sur l’image pour lire)
En Europe nous avons des ambulances, ici nous avons des “zébulances” pour acheminer nos patients à l’hôpital…
Après les thermites de la saison des pluies, c’est la saison des criquets ! Ce met est très apprécié dans la région.
A l’occasion d’une sortie à l’ITRAD (notre bar préféré), nous avons enfin eu la chance de gouter aux délices des criquets.
C’est Nathalie, la matrone du moment qui nous a fait préparer les meilleurs de la région. A l’heure de l’apéro, avec une bonne bière et du piment c’est un régal …
Enlever les pattes avant et les ailes
Faire bouillir 20 minutes dans l’eau
Frire dans l’huile d’arachide plus de 45 minutes (selon le croquant désiré)
Ajouter du sel, des épices et du jus de citron
Servir à température ambiante.
Contrairement à ce qu’on aurait pu croire, il ne reste pas de morceau entre les dents.
Ils n’ont rien à envier aux chips de chez nous, l’assaisonnement est extra !
Crumpy s’en régale en les mangeant par poignées, par contre Pupuce y va doucement et enlève la tête (le meilleur selon Crumpy)…
Vu à Bébédjia:
Celui qui a écrit le tableau ferait bien de s’y inscrire à ce projet :-)
Article publié sur RFI le 19/10/2009
Voici le lien vers le site de RFI : cliquez ici.
En l’espace de 15 ans, la population tchadienne a été presque multipliée par deux. Le dernier recensement démographique révèle que le Tchad compte actuellement un peu plus de 11 millions d’habitants, contre moins de 6,5 millions en 1993.
Ce recensement avait été réclamé et obtenu par l’opposition dans le cadre de l’accord politique du 13 août 2007 (entre la majorité et l’opposition), un accord qui devrait permettre l’organisation des prochaines élections législatives en 2010.
Cette étude, réalisée entre le 20 mai et le 30 juin dernier, a été faite pour des raisons démographiques, en vue notamment de la planification économique, ainsi que pour répondre aux demandes des partis politiques, avant la réalisation d’un recensement électoral.
Mahamat Hissène, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement tchadien, a souligné que la population de son pays est « beaucoup plus jeune ». Près de 57% des Tchadiens ont moins de 18 ans. Ce recensement montre, également, que la majorité de la population tchadienne est rurale et féminine. Sur les 11,1 millions de Tchadiens recensés, il y plus de 5,6 millions de femmes.
« Nous devons refaire un recensement tous les 10 ans au maximum... ».
Commentaires de Crumpy et Pupuce:
Les résultats nous paraissent douteux. Nombreux tchadiens ignorent s’ils ont été recensés.
Durant les élections, certaines villes voient soudainement leur population multipliée. De plus, comme la planification économique se fait sur base de la démographie, nous espérons que les résultats de ce recensement ne sont pas trop influencés par les appétits de certains…
Comment personnaliser votre véhicule au Tchad, c’est très simple, avec quelques bouts de ficelle tout est possible.
Notre garagiste, JérémXzibit a tout d’abord commencé par alléger le véhicule en retirant du moteur tout ce qui n’est pas nécessaire.
Heureusement, pour ne pas passer inaperçu il a remplacé le bouchon du réservoir d’essence. J’ai demandé une version sport à damier mais il a suggéré une touche “retro-style” de type Calvé …
Les motos du coin ne sont pas en reste. Voici un must, le garde-boue “Bruce-Lee” suivi de quelques améliorations qui garantissent une longue vie au possesseur de ces bijoux (à noter la protection de siège Barbie que tout le monde possède…)
Le Lycée Padre Pio à ouvert officiellement le terrain de sport aux activités sportives ce samedi 17 octobre.
Précédé d’un discours d’ouverture, l’école a organisé un match de football.
Le match oppose les meilleurs joueurs des classes de 1ère et Terminale.
Le “choc des titans” est arbitré par notre professeur d’histoire.
Voici la classe de 1ère (challenger) équipée des superbes maillots Crédit Agricole du Lycée.
Les élèves nous ont donné un match de qualité malgré la chaleur et le terrain (mi-sablonneux, mi-herbes séchées).
Duels, coup-franc, penalty … 0 – 0 mais un bon moment de détente à Bébédjia.
